Yves Juillerat est illustrateur et graphiste. Il a asséché les rivières pour réaliser ses lavis. Faut dire qu'il a souvent recommencé plusieurs fois.
Carryl Montini a volé le son de nos instruments avec ses micros espions. Mais on ne lui en veut pas car c'est grace à lui que le disque sonne si bien.
Olivier Nussbaum joue de la contrebasse. Il a du mérite car c'est lourd et encombrant. Mais c'est tellement beau lorsqu'il fait vibrer nos ventres...
Manuel Gerber est capable de jouer des notes de rosée sur son hautbois. Incroyable et tout simplement envoûtant!
Jean-Samuel Racine a un nom trop long, presque aussi long que sa clarinette. A part ce défaut, il caresse nos oreilles de son timbre velouté.
Lionel Zürcher joue du violon comme aucun autre. Lui n'a pas de cheveux mais beaucoup de crins à son archet. Et il en fait un bien bel usage!
Alain Tissot joue des percussions et a écrit les textes et la musique de cette pièce. Il a plein de cheveux mais que deux bras, comme tout le monde.
Quand on retourne dans le passé, c'est Solam Riondel qui prend le relai. Sa voix est jeune, douce et mélodieuse, parfois même un peu coquine.
Par qui?
Dans le rôle du Vent, aujourd'hui, vieux et fatigué, on entend la voix de Pierre-Alain Clerc, un comédien-musicien qui aime vraiment raconter des histoires.
Idée originale, musique et texte :
Alain Tissot
Illustrations :
Yves Juillerat
Librement inspiré de l'oeuvre
de James M. Barrie
Conte musical
Version illustrée de l’opéra
de chambre en un acte pour
un narrateur,
une voix,
un violoniste,
un hautboïste,
un clarinettiste,
un contrebassiste,
un percussionniste.